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dc.contributor.authorKIWAN, Fadia
dc.date.accessioned2009-03-04T09:47:37Z
dc.date.available2009-03-04T09:47:37Z
dc.date.issued2009
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/10791
dc.descriptionEuro-Mediterranean Consortium for Applied Research on International Migration (CARIM)
dc.description.abstractLa présente recherche a examiné la question de la migration de transit au Liban. Elle a rappelé en amont les raisons qui poussaient les individus et familles à quitter leur pays d'origine, en aval, les raisons qui les attiraient au Liban et elle s'est penchée en particulier sur les raisons du caractère transitoire de leur séjour au Liban. Ces raisons se résument à cinq raisons principales : l'insécurité continue au Liban, la crise économique qui ne fait que s'y aggraver, le relâchement de ses frontières (aussi bien à l'arrivée qu'au départ), la présence forte et actives d'Agences des Nations Unies, d'ONG, d'Ambassades occidentales pour effectuer des contacts en vue d'être rapatrié dans un pays tiers et enfin et surtout la politique restrictive du Liban en matière d'intégration des réfugiés. La recherche a ensuite réalisé une première exploration qui a justifié le choix des réfugiés iraquiens comme objet d'étude. Elle a relevé les traits caractéristiques de ce groupe tels que identifiés par un rapport du UNHCR en 2007 et s'est focalisée sur des entretiens qualitatifs avec 28 réfugiés iraquiens appartenant aux trois communautés chrétienne, sunnite et chiite. Elle a conduit aussi des entretiens avec des responsables du UNHCR et passé en revue les bulletins d'information, les discours des responsables du problème des réfugiés iraquiens au Liban, dans les Nations Unies, et dans les pays occidentaux. L'ensemble des données ainsi recueillies a permis de tracer le profil idéal typique du réfugié iraquien en transit. Cette note de recherche conclut que le phénomène de la migration de transit au Liban n'est pas aussi alarmant qu'on le croit. Le plus inquiétant demeure la situation de ceux qui ne peuvent effectuer le transit et ne peuvent toujours pas rentrer en Irak. Elle recommande d'abord de redoubler d'efforts internationaux pour rétablir la paix et la sécurité au Moyen Orient, et en particulier en Irak. Elle souligne qu'il ne faut pas donner de faux espoirs aux gens pour les encourager à transiter à partir du Liban. Elle conseille enfin aux autorités des pays concernés, l'Irak d'abord, les pays arabes voisins ensuite et les pays occidentaux enfin, de coordonner leurs efforts et d'adopter des mesures humanistes à l'égard des réfugiés en situation précaire et transitoire.en
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.language.isofren
dc.relation.ispartofseries[Migration Policy Centre]en
dc.relation.ispartofseries[CARIM-South]en
dc.relation.ispartofseriesCARIM Research Reporten
dc.relation.ispartofseries2009/05en
dc.relation.urihttp://www.carim.org/
dc.rightsinfo:eu-repo/semantics/openAccessen
dc.titleLa migration de transit au Liban (2008)en
dc.typeTechnical Report
eui.subscribe.skiptrue


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