dc.contributor.author | DELMAS, Adrien | |
dc.date.accessioned | 2012-09-10T12:14:54Z | |
dc.date.available | 2012-09-10T12:14:54Z | |
dc.date.issued | 2012 | |
dc.identifier.citation | Quaerendo: A Journal Devoted to Manuscripts and Printed Books, 2012, 42, 1, 21-45 | en |
dc.identifier.issn | 0014-9527 | |
dc.identifier.issn | 1570-0690 | |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/1814/23527 | |
dc.description.abstract | Les compagnies commerciales et coloniales de l’époque moderne n’ont qu’à de rares exceptions retenu l’attention de l’histoire du livre. Intermédiaires de la circulation d’écrits entre les continents, elles constituent pourtant des objets d’études incontournables pour que l’histoire du livre sorte du seul cadre national et pose la question du rôle de la culture écrite dans le désenclavement du monde à partir du XVIe siècle. Pour comprendre l’attitude de la Compagnie Hollandaise des Indes Orientales (VOC) face à l’imprimé, cet article revient sur le cas bien connu de l’Itinerario de Jan Huygen van Linschoten (1595-1596), un livre qui, s’il a incarné quelques années la complémentarité entre le monde du livre et le projet ultramarin, a très vite scellé leur antagonisme. Suite aux plaintes des directeurs de la Compagnie inquiets de sa large diffusion, il motiva en effet l’émission d’un privilège de librairie en 1619 qui entérinait le divorce entre le livre et la mer pour toute la durée du Siècle d’Or. | en |
dc.language.iso | fr | en |
dc.title | L’Itinerario de J.H. van Linschoten ou l’histoire d’un divorce entre le livre et la Compagnie Hollandaise des Indes Orientales (VOC), 1595-1619 | en |
dc.type | Article | en |
dc.identifier.doi | 10.1163/157006912X650297 | |