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dc.contributor.authorBEDOCK, Camille
dc.contributor.authorDURU-BELLAT, Marie
dc.contributor.authorTENRET, Elise
dc.date.accessioned2013-02-12T14:41:20Z
dc.date.available2013-02-12T14:41:20Z
dc.date.issued2012
dc.identifier.citationRevue de l'OFCE, 2012, Vol. 7, No. 126, pp. 171-208en
dc.identifier.isbn9782312008288
dc.identifier.issn1777-5647
dc.identifier.issn1265-9576
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/25847
dc.description.abstractEn s’appuyant sur les données de la dernière enquête du World Value Survey, le texte explore ce que les individus d’une cinquantaine de pays considèrent comme les problèmes les plus importants du monde. On se focalise sur le fait de citer en premier lieu la pauvreté, qui constitue une dimension importante des inégalités. Des différences entre pays apparaissent : plus le pays est riche, moins la pauvreté est considérée comme un problème mondial. On peut chercher à expliquer ces différences selon deux pistes : soit elles renvoient à des contextes culturels et historiques différents, soit elles découlent de degrés inégaux de développement économique et social, l’ensemble des pays tendant alors vers un modèle unique. Au niveau des pays, on enregistre des différences selon les grandes aires géographiques, largement imputables au degré inégal de développement. Au niveau individuel, deux principaux constats sont établis. Tout d’abord, la priorité donnée à la pauvreté comme problème mondial est très liée à la sensibilité dont on fait preuve par rapport à ce problème dans son propre pays. Par ailleurs, la position sociale relative de la personne exerce également une influence : plus une personne est favorisée, moins l’importance donnée au problème de la pauvreté est grande. Les attitudes politiques (opinion sur la redistribution, orientation idéologique sur l’échelle gauche/droite) exercent aussi une influence, un positionnement à gauche et favorable à la redistribution étant associé à une plus grande sensibilité face à la pauvreté. Enfin, des modèles multiniveaux confirment le poids des variables individuelles et le peu d’impact des contextes nationaux spécifiques.en
dc.language.isofren
dc.relation.ispartofRevue de l’OFCEen
dc.relation.urihttp://www.ofce.sciences-po.fr/pdf/revue/2-126.pdfen
dc.titleLa perception de la pauvreté dans un monde globaliséen
dc.typeArticleen
dc.identifier.doi10.3917/reof.126.0171
dc.identifier.volume7en
dc.identifier.startpage171en
dc.identifier.endpage208en
eui.subscribe.skiptrue
dc.identifier.issue126en
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