Regard sur le Centre d’action européenne fédéraliste (AEF) ou l’histoire d’une déroute : l'apport du fons UEF
License
Cadmus Permanent Link
Full-text via DOI
ISBN
ISSN
0392-162X
Issue Date
Type of Publication
Keyword(s)
LC Subject Heading
Other Topic(s)
EUI Research Cluster(s)
Initial version
Published version
Succeeding version
Preceding version
Published version part
Earlier different version
Initial format
Author(s)
Citation
Ricerche storiche, 1998, Vol. 28, No. 3, pp. 605-666
Cite
PREVITI ALLAIRE, Catherine, Regard sur le Centre d’action européenne fédéraliste (AEF) ou l’histoire d’une déroute : l’apport du fons UEF, Ricerche storiche, 1998, Vol. 28, No. 3, pp. 605-666 - https://hdl.handle.net/1814/76598
Abstract
Le troisième dépôt effectué, fin 1995, par l'UEF (Union des fédéralistes européens) aux Archives historiques des Communautés européennes à Florence se compose de documents de l'AEF. Celle-ci résulte de la division, en 1956, de la vieille Union européenne des fédéralistes (UEF) entre le Mouvement fédéraliste européen (MFE), mouvement supranational radical, et ladite AEF, mouvement international réformiste. Le dépôt, de dimension modeste (3 mètres linéaires environ), se compose essentiellement de la correspondance échangée par Karlheinz Koppe, délégué général puis secrétaire général de l'organisation, avec les formations affiliées. Elle couvre principalement la période postérieure à 1965. Les années précédentes sont documentées de manière très fragmentaire et le recours à l'historiographie s'avère précieux. Malgré leurs lacunes, ces archives permettent de mieux cerner une série d'événements qui marquèrent la vie du groupe et, fait non négligeable, projettent une lumière extérieure sur l'évolution du MFE et du Mouvement européen (ME). Plus qu'organisation militante et structurée -à la manière de la formation supranationale-, l'AEF fut le point de rencontre d'un petit nombre de militants européens réunis par un certain idéal fédéraliste mais divisés sur son exacte définition et sur les moyens d'y aboutir. Tant le caractère fortement personnalisé de leurs relations que la nature essentiellement épistolaire du fonds ont souvent incité à leur redonner la parole. On excusera enfin le caractère incomplet de cette contribution. Le choix de n'utiliser, pour le valoriser, qu'un seul fonds d'archives a apporté autant d'informations que de questions.
Table of Contents
Additional Information
Published: December 1998

