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dc.contributor.authorFOURATI, Habib
dc.date.accessioned2011-02-03T13:51:01Z
dc.date.available2011-02-03T13:51:01Z
dc.date.issued2011
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/15601
dc.descriptionEuro-Mediterranean Consortium for Applied Research on International Migration (CARIM)
dc.description.abstractAu début des années soixante-dix, la Tunisie connaissait sa première vague migratoire de main d’œuvre masculine, de jeunes et de moins jeunes, de célibataires et de non-célibataires vers les pays d’Europe occidentale, notamment vers la France et la République Fédérale d’Allemagne, ainsi que vers certains pays arabes dont la Libye. Cette vague a été suivie quelques années plus tard par des départs beaucoup moins massifs de jeunes femmes vers les pays d’accueil de leur époux, dans le cadre de ce qui fut appelé le « regroupement familial des immigrés dans les pays d’accueil ». Au cours des trois dernières décennies, la Tunisie n’a cessé d’observer ces mouvements migratoires de et vers ces mêmes pays d’accueil, mais avec une intensité plus ou moins importante d’une période à l’autre. Il s’agit d’une émigration d’hommes, dans les trois quarts de cet ensemble de cas, qui s'expatrient pour le travail et les études, et d’une émigration de femmes, dans un quart des cas, notamment pour le mariage et le regroupement familial dans le pays d’accueil, mais aussi pour les études et le travail. La présente note a pour premier objet la description des caractéristiques démographiques et socio-économiques des migrants, des pays de destination et des pays de provenance des flux migratoires des femmes et des hommes tunisiens de et vers la Tunisie au cours de la période 2001-2008. Elle donne, ensuite, un aperçu du stock des migrants tunisiens résidant à l’étranger par sexe et selon les pays d’accueil. Une tentative de caractérisation des femmes mariées restées en Tunisie, et dont les époux résident à l’étranger, est enfin traitée dans un troisième paragraphe. / In the early seventies of the last century, Tunisia experienced its first wave of emigration among male workers, mainly young and directed towards Western European countries, especially France and Germany, as well as towards some Arab countries including Libya. Later, this wave was followed by a corresponding if less strong wave of departure on the part of young women in the framework of so-called ‘family reunification schemes’. Over the past three decades, Tunisia has continued to have migration flows that fluctuate with circumstances. For the most part male migrants leave the country for work and study reasons : three out of four cases. But there are also women who have emigrated for marriage, family reunification as well as to study and work abroad. This note aims at describing the demographic and socio-economic characteristics of migrants and the destination and origin countries of migration flows from 2001 to 2008. Then, the stock of Tunisians abroad today will be more carefully examined from the perspective of gender. Finally, the characteristics and conditions of those women left behind in Tunisia will be scrutinized.en
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.language.isofren
dc.relation.ispartofseries[Migration Policy Centre]en
dc.relation.ispartofseries[CARIM-South]en
dc.relation.ispartofseriesCARIM Analytic and Synthetic Notesen
dc.relation.ispartofseries2011/16en
dc.relation.ispartofseriesGender and Migration Seriesen
dc.relation.urihttp://www.carim.org/
dc.rightsinfo:eu-repo/semantics/openAccessen
dc.titleGenre et migration en Tunisieen
dc.typeTechnical Report
eui.subscribe.skiptrue


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