dc.contributor.author | HOUSSAYE MICHIENZI, Ingrid | |
dc.date.accessioned | 2011-05-24T08:46:31Z | |
dc.date.available | 2011-05-24T08:46:31Z | |
dc.date.issued | 2010 | |
dc.identifier.citation | Benoît GRÉVIN (ed.), Maghreb-Italie : Des passeurs médiévaux à l’orientalisme moderne (XIIIe-milieu XXe siècle), Rome, École française de Rome, 2010, 67-84, Collection de l'École française de Rome, n°439 | en |
dc.identifier.isbn | 978-2-7283-0886-6 | |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/1814/17534 | |
dc.description.abstract | Riche en matières premières indispensables à l’industrie latine en plein essor, le Maghreb intéressait les compagnies marchandes florentines de la fin du Moyen Age. Cependant, les conditions générales sous lesquelles les Florentins pouvaient commercer au Maghreb représentaient un handicap certain, lié à l’absence de flotte, de traité de paix et de commerce, et de représentation diplomatique. De plus, le Maghreb était l’objet d’une forte rivalité entre les grandes puissances commerciales européennes. À la tête de ses compagnies marchandes, Francesco di Marco Datini dirigea également ses efforts en direction de l’Afrique du Nord, principalement à travers ses compagnies de Pise, de Valence et surtout de Majorque. Toutefois sa belle compagnie, solidement administrée, ne lui suffit pas pour commercer partout où il le désirait. Il lui fallut aller au-delà, tisser des liens avec des personnes étrangères à sa compagnie, bâtir et développer un réseau de connaissances et de relations. La coopération avec des milieux culturels différents représenta l’unique moyen d’infiltrer cette complexe organisation commerciale. | en |
dc.language.iso | fr | en |
dc.title | De Prato au Maghreb. Le réseau commercial de la compagnie Datini, fin XIVe-début XVe siècle | en |
dc.type | Contribution to book | en |