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dc.contributor.editorAVILÉS FLORES, Pablo
dc.contributor.editorCHEIRIF WOLOSKY, Alejandro
dc.contributor.editorDELMAS, Adrien
dc.date.accessioned2012-09-10T13:06:07Z
dc.date.available2012-09-10T13:06:07Z
dc.date.issued2012
dc.identifier.citationSpecial Issue of Nuevo Mundo, Mundos Nuevos, 2012en
dc.identifier.issn1626-0252
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/23529
dc.descriptionNuevo Mundo Mundos Nuevos [En línea], 2012, Coloquios, Puesto en línea el 26 junio 2012en
dc.description.abstractIl y a certainement quelque chose d’ironique à organiser un colloque sur Edmundo O’Gorman à Paris, Paris qu’il qualifiait volontiers de temple de l’orthodoxie de l’histoire pour mieux se déclarer lui-même hétérodoxe. Non que nous ayons senti le besoin de rendre Don Edmundo plus fréquentable, lui qui (et les éminents historiens mexicains réunis à cette occasion qui ont eu le privilège de le connaître l’ont confirmé) était un personnage haut en couleur, mais notre objectif était bien de faire connaître ses travaux, d’inviter à la lecture ou la relecture de ses écrits, de donner ou de redonner une visibilité à une œuvre qui n’a peut-être pas toujours reçu la place qu’elle mérite. À côté d’une admiration certaine, le point de départ de nos discussions autour des écrits de l’historien-philosophe fut le constat, presque paradoxal, de sa présence à la fois forte et empruntée dans de nombreux travaux contemporains d’histoire et d’historiographie. La invención de América est déjà devenu un classique mais comme tout bon classique, beaucoup le connaissent mais peu l’ont lu. Que dire de la Breve historia de las divisiones territoriales (1937), de Crisis y porvenir (1947), de La idea del descubrimiento (1951), du México, el trauma de su historia (1977) ou du Destierro de sombras (1986), des ouvrages qui sur plus de quatre décennies ont démontré la fidélité de leur auteur à une méthode historico-philosophique capable d’ouvrir, les uns après les autres, des chantiers historiographiques qui restent nos terrains de jeu encore aujourd’hui ? Que dire des innombrables articles, notes ou autres aphorismes de celui qui fut le directeur de l’Archivo General de la Nación pendant douze ans et qui avait un talent indéniable pour repérer les perles documentaires de l’immense répertoire mexicain?en
dc.language.isoesen
dc.publisherMondes Americainsen
dc.relation.urihttp://nuevomundo.revues.org/63388en
dc.titleLa Invención de Edmundo O’Gormanen
dc.typeBooken
dc.identifier.doi10.4000/nuevomundo.63388
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