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dc.contributor.authorDUVAL, Antoine
dc.date.accessioned2015-09-18T10:51:03Z
dc.date.available2015-09-18T10:51:03Z
dc.date.issued2015
dc.identifier.citationFlorence : European University Institute, 2015en
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/36997
dc.descriptionDefence date: 17 September 2015en
dc.descriptionExamining Board: Prof. Marie-Ange Moreau (Directrice de thèse), Institut Universitaire Européen et Université Lyon 2 ; Prof. Hans-Wolfgang Micklitz, Institut Universitaire Européen ; Prof. Stephen Weatherill, University of Oxford ; Prof. Stefaan Van den Bogaert, Universiteit Leiden.en
dc.description.abstract20 ans après l’arrêt Bosman de la Cour de Justice de l’UE, cette thèse analyse l’interaction entre le droit de l’UE et la lex sportiva, le droit transnational privé qui régit l’activité sportive internationale. Elle entend tout particulièrement éclairer la fonction de contre-pouvoir démocratique transnational que remplit le droit de l’UE dans ce contexte. La première partie de la thèse retrace les modalités de l’intervention du droit de l’UE dans le domaine sportif et démontre que tant les libertés fondamentales que le droit de la concurrence de l’UE peuvent être efficacement invoqués afin de contrecarrer les normativités privées transnationales. Ce contre-pouvoir n’est cependant pas aveugle : le contrôle de proportionnalité couplé avec la notion émergente de spécificité sportive permettent de tenir compte des objectifs particuliers poursuivis par la lex sportiva. Dès lors, une forme de dialogue juridique transnational se met en place. La seconde partie s’attache aux changements institutionnels et normatifs que cette intervention du droit de l’UE a pu engendrer tant au niveau des organes que du contenu de la lex sportiva. En effet, l’UE ne dispose d’aucune compétence (ni de capacité) législative pour se substituer à la lex sportiva. L’intervention du droit européen doit donc, pour être efficace, se traduire par un effet réflexif sur celle-ci. En pratique, cette intervention du droit de l’UE a donné lieu, d’une part, à de nouveaux modes de production de la lex sportiva, notamment en co-production avec la Commission européenne afin de se conformer au droit de la concurrence ou dans le cadre récent du dialogue social européen, et de l’autre, elle a contribué à faire naître les nouvelles fabriques de la lex sportiva que sont le Tribunal Arbitral du Sport et l’Agence Mondiale Anti-dopage.en
dc.format.mimetypeapplication/pdfen
dc.language.isofren
dc.publisherEuropean University Instituteen
dc.relation.ispartofseriesEUIen
dc.relation.ispartofseriesLAWen
dc.relation.ispartofseriesPhD Thesisen
dc.rightsinfo:eu-repo/semantics/openAccessen
dc.subject.lcshSports -- Law and legislation -- European Union countries
dc.subject.lcshSports -- Law and legislation
dc.titleLa Lex Sportiva face au droit de l'Union Européenne : guerre et paix dans l’espace juridique transnationalen
dc.typeThesisen
dc.identifier.doi10.2870/906455
eui.subscribe.skiptrue


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