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dc.contributor.authorSCRINZI, Francesca
dc.date.accessioned2018-01-30T13:08:36Z
dc.date.available2018-01-30T13:08:36Z
dc.date.issued2017
dc.identifier.citationEvelyne BECHTOLD-ROGNON, Nina CHARLIER, Annick COUPE, Elodie DE COSTER, Sigrid GERARDIN, Cécile GONDARD-LALANNE and Clémence HELFER (eds), Toutes à y gagner : vingt ans de féminisme intersyndical, Paris : Editions Syllepse, 2017, Utopie critique, pp. 83-88en
dc.identifier.isbn9782849505595
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/50907
dc.description.abstractMa recherche sur les ‘emplois domestiques’ (ménage et aide aux personnes âgées) porte sur l’insertion des travailleurs migrants (essentiellement des travailleuses migrantes) en France et en Italie. Il s’agit d’une étude comparative et ethnographique (entretiens et observations) réalisée entre 2000 et 2005. Emplois domestiques : j’utilise cette expression pour parler d’emplois où le travail domestique gratuit généralement accompli par les femmes est externalisé et rémunéré. Ce secteur d’emploi est très diversi* é (on parle de ‘galaxie’ des services à la personne) quant aux statuts des salariés et des formes d’organisation du travail (emploi direct et associations mandataires et/ou prestataires, secteur à cheval entre bénévolat, salariat et tiers secteur à but non-lucratif, mais aussi entreprises privées opérant dans ce marché dans plusieurs pays européens). En France, la recherche a porté sur l’aide à domicile, et en Italie sur l’emploi direct puisque ce sont les deux formes d’organisation de l’emploi domestique qui prédominent dans chacun des deux pays.en
dc.language.isofren
dc.titleLes emplois domestiques en Italie et en France (2015)en
dc.typeContribution to booken


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