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dc.contributor.authorISSAKA MAGA, Hamidou
dc.date.accessioned2011-10-27T07:16:14Z
dc.date.available2011-10-27T07:16:14Z
dc.date.issued2011-10-01
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/18975
dc.descriptionEuro-Mediterranean Consortium for Applied Research on International Migration (CARIM)
dc.description.abstractLa présente étude vise essentiellement, sur la seule base des données des recensements de la population et de l’habitat (RGPH) recueillis en 1988 et en 2001, à approfondir les connaissances sur les caractéristiques des migrants internationaux nigériens de retour. Aux termes des multiples analyses produites, l’étude relève que la proportion de migrants retournés au Niger n’a pratiquement pas changé entre les deux dates et qu’elle compte toujours parmi ses rangs une majorité d’hommes. De même, la plupart des migrants reviennent toujours de l’Afrique de l’Ouest vers laquelle les départs sont également les plus nombreux. Cependant, l’étude a noté des changements importants. En premier lieu, le schéma géographique de la migration de retour a quelque peu changé. En effet, les retours d’Afrique du Nord (notamment de la Libye) et de l’Asie (en l’occurrence de l’Arabie Saoudite) ont pris un peu plus d’importance entre 1988 et 2001. En second lieu, les migrants se sont davantage urbanisés (ou encore on retrouve un peu plus d’urbains), même s’ils retournent vivre en majorité en milieu rural. En troisième lieu, leur niveau d’instruction a sensiblement augmenté entre les deux dates de recensement - même si la majorité d’entre eux ne dispose d’aucune instruction moderne et travaille dans le secteur primaire traditionnel (agriculture et élevage). Abstract This paper analyzes international return migration patterns in Niger as well as the profiles of return migrants. To this end, the two national censuses of 1988 and 2001 are employed and results are compared so as to examine the evolution of the phenomenon. Some characteristics are found to have remainremained unchanged between the two dates, e.g. the proportion of return migrants in the population as a whole, migrant profile by sex and last country of residence abroad – for the vast majority are men who resided in other Western African countries. However, some features have varied. So some countries of last residence acquired importance among return migrants in this period including Libya and Saudi Arabia. Then even if the majority of return migrants lived in a rural milieu in 2001 the proportion of those who returned to an urban setting increased slightly. Finally, recent return migrants show a higher level of education despite the fact that most are still illiterate.en
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.language.isofren
dc.relation.ispartofseries[Migration Policy Centre]en
dc.relation.ispartofseries[CARIM-South]en
dc.relation.ispartofseriesCARIM Analytic and Synthetic Notesen
dc.relation.ispartofseries2011/63en
dc.relation.urihttp://www.carim.org/
dc.rightsinfo:eu-repo/semantics/openAccessen
dc.titleDynamique des migrations de retour au Niger de 1988 à 2001en
dc.typeTechnical Report
eui.subscribe.skiptrue


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