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dc.contributor.authorMARZOUKI, Nadia
dc.date.accessioned2016-03-09T17:20:19Z
dc.date.available2016-03-09T17:20:19Z
dc.date.issued2014
dc.identifier.citationSocio, 2014, Vol. 3, pp. 103-136
dc.identifier.issn2425-2158
dc.identifier.urihttps://hdl.handle.net/1814/39504
dc.description.abstractÀ partir de l’étude du procès de Tarek Mehanna, un jeune Américain d’origine égyptienne, condamné en avril 2012 à dix-sept ans de prison pour conspiration terroriste, cet article analyse le rôle des experts et des spécialistes de sciences sociales dans la construction juridique de la catégorie de terrorisme. Il ne s’agit pas de tenter de mesurer l’influence des témoins experts sur le droit, mais plutôt d’analyser la façon dont opère la logique politique de prévention du terrorisme, dès lors que celle-ci oriente aussi bien l’activité des spécialistes de sciences sociales, que celle des juges et des avocats. Cet article examine également les débats relatifs à l’interprétation du premier amendement dans le contexte de la guerre contre le terrorisme, et les luttes en cours pour établir des distinctions entre la libre expression et la pensée dangereuse, entre la pratique religieuse libre et la pratique radicale et suspecte.
dc.language.isofr
dc.relationinfo:eu-repo/grantAgreement/EC/FP7/69860
dc.relation.ispartofSocio
dc.relation.ispartofseries[RELIGIOWEST]en
dc.titlePrévenir ou punir ? : expertise et justice préventive dans la “guerre contre la terreur” aux États-Unis : l’affaire Mehanna
dc.typeArticle
dc.identifier.doi10.4000/socio.622
dc.identifier.volume3
dc.identifier.startpage103
dc.identifier.endpage136


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