dc.contributor.author | LORENZINI, Jasmine | |
dc.date.accessioned | 2017-04-27T14:35:35Z | |
dc.date.available | 2017-04-27T14:35:35Z | |
dc.date.issued | 2016 | |
dc.identifier.citation | Anouk LLOREN, Nicolas TAVAGLIONE, and Laurent TISCHLER (eds), Les étrangers volent-ils notre travail? : et quatorze autres questions impertinentes, Genève : Labor et Fides, 2016, pp. 143-156 | en |
dc.identifier.isbn | 9782830915952 | |
dc.identifier.uri | https://hdl.handle.net/1814/46188 | |
dc.description.abstract | Contrairement à l’Espagne ou à la Grèce qui ont connu ces dernières années des taux de chômage avoisinant les 50 pourcents parmi les jeunes, la situation des jeunes sur le marché de l’emploi en Suisse semble idyllique avec un taux de chômage proche des 8 pourcents[1]. Dès lors, pourquoi s’intéresser au chômage des jeunes ? Le chômage des jeunes est-il un problème uniquement lorsqu’il inquiète par l’ampleur du phénomène ? Dans un tel contexte, doit-on se préoccuper du fait que les jeunes profitent du chômage ? | en |
dc.language.iso | fr | en |
dc.title | Les jeunes profitent-ils du chômage ? | en |
dc.type | Contribution to book | en |